Avec le Bol d’air® nous n’inhalons pas plus d’oxygène mais nous l’utilisons mieux.
Cette méthode est née de l’inquiétude de son inventeur quant aux méfaits de l’hypoxie (insuffisance chronique d’oxygène au niveau cellulaire) qui peut être liée à nos conditions de vie, au stress, au vieillissement et à la fragilisation de notre organisme.
René Jacquier, ingénieur chimiste, élève du prix Nobel Victor Grignard, fait une carrière de chercheur. Il s’intéresse aux hormones, aux enzymes, aux vitamines et aux phénomènes biologiques qui déterminent « l’état de santé idéal ».
Son but est de stimuler les processus de régulation et d’auto guérison qui existent en nous, par le biais de l’oxygénation cellulaire. C’est ainsi qu’il lance le concept d’oxygénation biocatalytique qui donnera naissance au Bol d’air Jacquier®.
Aujourd’hui les récentes applications scientifiques confirment ses théories, élaborées voici plus de 70 ans.
L’oxygène est un des éléments fondamentaux de la vie sur Terre, il existe pour 21% dans l’air que nous respirons.
A l’inspire, l’air pénètre dans les voies respiratoires jusqu’aux alvéoles pulmonaires aux parois extrêmement fines. Les échanges gazeux se font à travers cette paroi irriguée par des capillaires sanguins : l’oxygène de l’air diffuse dans le sang qui dans le même temps, relâche le gaz carbonique dont il est chargé.
Dans le sang, 95% de l’oxygène se fixent sur l’hémoglobine qui lui sert de transporteur. Au gré du flot sanguin, l’hémoglobine libère l’oxygène qui pénètre alors dans les cellules. En échange, elle capte le gaz carbonique, déchet de la respiration cellulaire, et le transporte jusqu’aux poumons où il est éliminé dans l’air expiré.
C’est dans la mitochondrie, centrale énergétique de la cellule, que se déroulent les dernières étapes du cycle respiratoire.